Bureau d'Assistance Comptable , Taxation Fiscal,Constitution de Societe Immeuble 11 Rue d’Alger n°15 1er étage Tunis Tunisie
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samedi 29 octobre 2011
jeudi 27 octobre 2011
فضل صيام العشره الاولى من ذى الحجه
روى عن فضل الأيام العشر من ذى الحجة انة من صام هذة الايام أكرمه الله تعالى بعشرة أشياء هى :
jeudi 20 octobre 2011
vendredi 14 octobre 2011
Présentation du Cabinet Jaafri
Le Cabinet Conseil Audit Formation
Le cabinet
Monsieur Jaafri Abderraouf est membre de
la compagnie de comptables de Tunisie .
Sise a Tunis
immeuble 11 rue d’Alger 1er
étage n°15 Tunisie
Son développement
rapide et soutenu est le témoignage de sa capacité a mettre a la disposition
des entreprises tunisiennes un éventail de services adaptés a leurs besoins et
de son souci de qualité .
L’activité
du cabinet est fondée sur la croyance que croissance continue ne peut résulter
que du seul développement interne .
Cette
croyance ,qui garantit le succès de nos interventions , détermine :
-
La formation et le développement professionnels de nos
collaborateurs
-
L’organisation du cabinet en trois départements :
-
*audit
*conseil et assistance
*formation
Le recrutement et la Formation
Le cabinet applique une politique qui lui assure un recrutement de haut
niveau.
Le cabinet attache une très grande importance a la formation
professionnel de ses collaborateurs . il a été établi une politique de
formation continue qui se déroule parallèlement a plusieurs niveaux :
Au bureau :
-Par l’établissement d’un programma d’intervention qui donne au
collaborateur l’occasion d’être confronte rapidement a une grande variété de
programmes techniques .
-Par des entrevues régulières avec les responsables du cabinet afin de permettre au collaborateur de faire
le point sur sa progression .
-Par une politique de promotion rapide reflétant la qualité des
performances du collaborateur .
Chez le Client :
-Par la définition en début de mission des objectifs de travail
-Par l’assistance journalière d’un chef de mission expérimente
-par l’appréciation a la fin de chaque mission du travail fourni ,
Débouchant sur des conseils pour l’amélioration des performances
Programme de formation actuel et d’enrichissement des
connaissances techniques des collaborateurs :
-Cours d’approfondissement : tout au long de la première année et
durant un jour par semaine ,un séminaire est organise pour donner au
collaborateur les bases des différentes principe comptables et pour lui
permettre de revoir et d’approfondir les procédures de l’audit .
-Cours d’audit informatique : ce cours est destinée a familiariser
nos collaborateurs a l’outil informatique , sa durée est de dix jours chez le
client .
-cours sur les rapports financiers : Axé sur la présentation des
comptes et la réduction des rapports d’audit et des notes aux états financiers
, ce cours prend place a l’issue de la deuxième année d’expérience .
Par ailleurs , le cabinet encourage l’initiative individuelle de ses
collaborateurs avides de connaissances et de savoir en mettant a leur
disposition un large éventail de livres spécialises .
Les Services
Deux types de services sont offerts par notre cabinet a ses clients
*L’audit
Le cabinet entreprend les missions d’audit interne qui lui sont confiées conformément
aux normes généralement admises dans la profession sur le plan international .
Nous veillons également , dans le cadre de nos action sd ‘audit , a
formuler des recommandations sur les systèmes de contrôle interne et comptable en vue de les améliorer et
d’assurer aussi la sauvetage du patrimoine de l’entreprise .
*La Tenue de comptabilité &
le conseil
Garantir un bilan comptable audite sans aucune réserve dans le rapport du
commissaire aux comptes .
-les déclarations mensuels
-les acomptes provisionnels
-les déclarations caisse national de sécurité sociales
-la déclaration d’employeur
-le Bilan et les états financiers
Le professionnalisme
Notre cabinet applique en toutes circonstances des règles professionnels
tres strictes visant à :
-N’effectuer que des missions pour lesquelles il dispose de la compétence
nécessaire
-Garantir son indépendance
-Respecter le secret professionnel
Pour chaque intervention sont établis une lettre de proposition détaille
et un programme de travail précis stipulant :
-les objectifs
-le calendrier d’intervention
-l’estimation du temps de travail et des honoraires
Remarque :
Chaque missions donne lieu a la
constitution d’une équipe de travail placée sous la responsabilité d’un associé
et qui fait appel aux collaborateurs dont la compétence est la plus appropriée
.
Les références des personnels du cabinet
Dar el Amal
(journaux Horria et renouveau)
-
Assistance pour l’arrête de ses bilans
-
Inventaire des actifs et passifs et établissement
d’une situation corrigée
-
Etat de rapprochement bancaire et de caisse
Etablissement Maiza (
importation matériels informatiques et bureautique )
-
Assistance pour l’arrête de ses bilans
-
Inventaire des actifs et passifs et établissement
d’une situation corrigée
-
Audit interne des comptes des exercices et des états
financiers .
-
Audit des procédures
Ecotravel (Agence de voyages)
-
Assistance pour l’arrête de ses bilans
-
Inventaire des actifs et passifs et établissement
d’une situation corrigée
-
Audit interne des comptes des exercices et des états
financiers .
-
Audit des procédures
lundi 10 octobre 2011
lundi 3 octobre 2011
Le capitalisme
Le capitalisme est un concept à la fois économique, sociologique et politique. Selon le contexte de son utilisation, il est défini de différentes manières (voir les emplois du terme). Il n'y a pas réellement de consensus quant à sa définition, ni sur la façon dont le terme doit être utilisé par rapport au cadre historique1.
Dans l'usage défini par l’Académie Française, le capitalisme est défini comme un « régime économique dans lequel les moyens de production sont propriété privée »2.
Dans l'usage courant, le terme est utilisé dans de nombreux sens différents, qui renvoient à des cadres idéologiques et théoriques différents, et se traduisent dans les définitions figurant dans la littérature par l’ajout fréquent des aspects sociaux et politiques, ainsi que d’autres caractéristiques parmi les suivantes :
- la recherche du profit,
- l’accumulation du capital,
- la dissociation de la propriété du capital et du travail,
- le salariat,
- la régulation par le marché3.
Le libéralisme politique
Le libéralisme politique désigne l'ensemble des thèses libérales portant sur le domaine de la politique, qui ont en commun de fixer des limites à l'action de l'État. Elles se différencient par leurs positions relatives à ses finalités, à l'étendue des prérogatives qu'il doit posséder et à son organisation.
Pour le libéralisme classique, le rôle légitime de l'État est la protection des libertés individuelles. L'État assure les fonctions dites « régaliennes » de police, de justice et de défense.
Le libéralisme s'est historiquement construit contre l'absolutisme. Au moment de la division droite/gauche et pendant une longue partie du XIXe siècle, il constitue la principale tendanceprogressiste, inspirateur de la Révolution française, formant l'opposition contre Napoléon puis les Ultras, siégeant à gauche, triomphant avec la monarchie libérale de Louis-Philippe puis retournant dans l'opposition contre le futur Napoléon III. L'importance croissante des mouvements marxistes ou socialistes à gauche a graduellement fait évoluer le positionnement des libéraux en France et dans d'autres pays (Royaume-Uni notamment). Aux États-Unis actuellement, le mouvement libertarien prône une réduction radicale de l'Etat et de ses prérogatives.
Le libéralisme économique
Le libéralisme économique est une école de pensée, dont la dénomination est associée au siècle des Lumières, qui estime que les libertés économiques (libre-échange, liberté d'entreprendre, libre choix de consommation, de travail, etc.) sont nécessaires en matière économique et que l’intervention de l’État doit y être aussi limitée que possible. Ces idées fondatrices furent formulées antérieurement notamment à l'Ecole de Salamanque aux xve et xvie siècles, sur la base de considérations morales accordant à la personne humaine des droits fondamentaux, notamment en matière économique.
Les partisans du libéralisme économique se rangent en deux grandes familles. Pour les libéraux classiques (Locke, Turgot, Smith ou Condillac), le libéralisme économique est l'application au domaine économique des principes fondateurs du libéralisme : liberté, responsabilité, propriété. Ils contestent à la fois la légitimité et l’efficacité de l’action étendue de l’État, et, selon les tendances, demandent la limitation plus ou moins grande voire totale de ses actions dans le champ de l'économie. Ils considèrent notamment que la puissance publique n'a ni la légitimité, ni l'information nécessaire pour prétendre savoir mieux que les consommateurs ce qu'ils peuvent ou doivent consommer ou pour prétendre savoir mieux que les producteurs ce qu'ils peuvent ou doivent produire.
Pour les autres, le libéralisme économique relève d’un raisonnement de nature économique qui repose le plus souvent sur la théorie de l’équilibre général et qui est souvent appelé « libéralisme néoclassique ». Ils contestent l’efficacité des actions de l’État mais sont plus sensibles que les libéraux classiques aux critiques partant des « défaillances du marché ». De ce fait, ils diffèrent quant aux limites exactes à fixer aux interventions de l’État.
Actuellement, le libéralisme classique est devenu très minoritaire, et les tenants du libéralisme économique font en grande majorité reposer leurs positions sur le libéralisme néoclassique. En conséquence, la plupart des critiques portent sur les arguments de cette école de pensée : ces critiques sont virulentes surtout en France, tant d'une partie de la population que de certains politiques.
Le libéralisme
Le libéralisme est un courant de pensée de philosophie politique, né d'une opposition à l'absolutisme et au droit divin dans l’Europe desLumières (xviiie siècle), qui affirme la primauté des principes de liberté et de responsabilité individuelle sur le pouvoir du souverain. Il repose sur l’idée que chaque être humain possède des droits fondamentaux qu'aucun pouvoir n'a le droit de violer. En conséquence, les libéraux veulent limiter les obligations sociales imposées par le pouvoir et plus généralement le système social au profit du libre choix de chaque individu1,2. Le libéralisme repose sur un précepte moral qui s'oppose à l'assujettissement, d'où découlent une philosophie et une organisation de la vie en société permettant à chaque individu de jouir d'un maximum de liberté, notamment en matière économique. Pour la plupart des libéraux, la dichotomie entre « libéralisme économique » et « libéralisme politique » n'existe donc pas, puisqu'il s'agit de l'application d’une même doctrine dans des domaines différents3.
Au sens large, le libéralisme prône une société fondée sur la liberté d'expression des individus dans le respect du droit du pluralisme et dulibre échange des idées. La satisfaction et l'expression libre de l'intérêt de chacun permet une société qui valorise les meilleures adaptations. Elle doit joindre, d'une part, dans le domaine économique, l'initiative privée, la libre concurrence et son corollaire l'économie de marché, et d'autre part, dans le domaine politique, des pouvoirs politiques encadrés par la loi librement débattue, et des contre-pouvoirs. Elle valorise ainsi le mérite comme fondement de la hiérarchie. Cela suppose idéalement un État de droit où sont respectées les minorités jusqu'à la plus petite, l'individu ; l'État n'étant que le garant de ce respect et devant rendre des comptes de son action.
Cette position théorique implique le respect du pluralisme et une adaptation aux évolutions sociales: le libéralisme peut donc se manifester de façon fort diverse, voire opposée; le libéralpeut ainsi être, selon le lieu, voire en fonction des moments, celui qui exige de l'État qu'il brise un traditionalisme religieux ou social oppresseur pour l'individu (caste, statuts, discriminations et privilèges, ...) ou qui défend la liberté de pratiquer une religion ou une tradition, il peut demander que l'État intervienne pour donner à chacun une véritable capacité d'action économique (bridée par un monopole, la pauvreté, le manque d'éducation, de crédit ou autre), ou inversement celui qui s'oppose à l'intervention du pouvoir. Les limites à fixer à l'action de l'État, ainsi que les modalités de l'action publique (notamment aux rôles respectifs de l'action administrative et de la loi), sont donc sujets à débat au sein même du libéralisme. La plupart des libéraux considèrent que l'action de l'État est nécessaire à la protection des libertés individuelles, dans le cadre de ses fonctions régaliennes, et nombre d'entre eux (comme Adam Smith, Raymond Aron, Karl Popper ou Benedetto Croce) acceptent et même recommandent certaines interventions de l'État dans l'économie, notamment en matière de contrôle et de régulation. À l'opposé, les libertariens de tendance anarcho-capitalistes refusent à l'État toute légitimité dans quelque domaine que ce soit.
socialisme
Définition du socialisme
Etymologie : du latin "socialis", sociable, pour la société, lui-même dérivé de "socius", associé.
Le socialisme est une doctrine politique et économique qui vise, à l'inverse du modèle libéral, à réformer le système de propriété privée des moyens deproduction et d'échange et à l'appropriation de ceux-ci par la collectivité.
Les valeurs fondamentales du socialisme sont : l'absence de classes (au moins à ses origines), l'égalité des chances, la justice sociale, la répartitionéquitable des ressources, la solidarité, la lutte contre l'individualisme, l'intérêt général partagé et prévalant sur les intérêts particuliers...
Dans la théorie politique marxiste, le socialisme est la période de transition entre l'abolition du capitalisme et l'avènement du communisme avec la disparition de l'Etat. Pendant cette période, la "dictature du prolétariat" s'exerce par l’intermédiaire de l'Etat sur l'ensemble de la société.
Chez les non marxistes, le socialisme est la dénomination générale des doctrines des partis de gauche qui cherchent à rénover l'organisation de la société en vue de la justice sociale et de l'émancipation individuelle de chacun dans le respect de la dignité.
Les socialismes
Les variantes du socialisme sont nombreuses. Leur caractéristique commune est moins la remise en cause de la propriété privée que la recherche d'une plus grande justice sociale. Ces mouvements s'opposent sur d'autres sujets fondamentaux comme le rôle de l'État, le parlementarisme, la démocratie directe...- Historiquement, des formes de "socialisme" sont apparues dans l'Antiquité et au Moyen Age (Anabaptisme), mais c'est au XIXe siècle, en réaction aux conséquences sociales et économiques néfastes de la "révolution industrielle", qu'est né le socialisme moderne.
- Le socialisme utopique dont le but est de rendre le monde plus heureux (Début du XIXe), avec Fichte, Saint-Simon, Proudhon, Owen...
- Le socialisme scientifique ou marxisme, théorisé par Karl Marx et Friedrich Engels, qui nécessite la lutte des classes et la suppression ducapitalisme.
- Le communisme russe (ou bolchevisme) développé par Lénine, avec la suppression de la propriété privée.
- Le socialisme réformiste (par opposition à révolutionnaire) rejetant la violence et s'appuyant sur l'Etat pour réaliser la transformation sociale.
- Le socialisme autogestionnaire ou libertaire, partisan de la suppression immédiate de l'Etat et qui, au sein de la classe ouvrière, défend l'autogestionet le fédéralisme (Cf. anarchisme).
- Le socialisme démocratique, apparu après la Seconde Guerre mondiale, est issu du socialisme réformiste. Il préconise des réformes sociales pour améliorer la situation des salariés et de ne transférer à la collectivité (nationalisation) que les moyens de production les plus importants. On le retrouve dans les partis "socialistes", "travaillistes", "socio-démocrates" européens.
communisme
Définition du communisme
Etymologie : du latin "communis", communauté, lui-même issu de "cum", avec, ensemble et de "munus", charge, dette : charges partagées, obligations mutuelles.
Le communisme est un mode d'organisation sociale basée sur l'abolition de la propriété privée des moyens de production et d'échange au profit de la propriété collective. La transition entre le système capitaliste et la société communiste, sans classe et sans Etat, nécessite une phase transitoire de dictature du prolétariat.
Dérivé du socialisme, le communisme s'inspire largement du système politique, économique et social, exposé par Karl Marx (1818-1883) et Friedrich Engels(1820-1893) dans le Manifeste du Parti communiste (1848). Cette alternative au capitalisme y est décrite comme "une association où le libre développement de chacun est la condition du libre développement de tous".
L'idéal de vie sociale en communauté est très ancien.
- l'organisation des premières communautés humaines est parfois appelée "communisme primitif",
- Platon l'évoque comme utopie sociale dans "La République",
- Les premiers chrétiens.
Lénine, qui est le véritable fondateur du communisme moderne, a mis en avant l'aspect révolutionnaire contenu dans le marxisme et la dictature du prolétariat.
Cependant, le communisme s'est rapidement transformé en dictature du parti communiste et s'est accompagné de la disparition des libertés individuelles. De ce fait, le communisme est devenu une idéologie très controversée. La question est, en particulier, de savoir si les "pages noires du communisme" sont la conséquence de ses principes fondamentaux (le communisme intrinsèquement totalitaire et négateur de l'individu) ou si elles résultent de régimes politiques qui n'avaient de communistes que le nom. N'ayant jamais été réellement mise en place, la société communiste telle que Marx l'avait imaginée reste alors un concept théorique.
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