jeudi 8 décembre 2011

L'ÉTAT DES FLUX DE TRÉSORERIE

L’état des flux de trésorerie vise à montrer l’effet des activités de l’entreprise sur ses ressources financières liquides (ou liquidités).

Il a pour objet de montrer comment les activités de l’entité ont été financées durant l’exercice et à quoi ont servi ses ressources financières. Il présente les rentrées et  les sorties de fonds de l’exercice selon qu’elles sont liées aux activités d’exploitation, aux activités d’investissement ou aux activités de financement.

Une bonne gestion des liquidités est souvent ce qui fait la différence entre une organisation qui réussit à faire face à ses obligations financières de celle qui n’y arrive pas et qui risque la faillite.

Ce document fournit aux utilisateurs d’états financiers, l’information essentielle sur la solvabilité de l’organisme.

Figure 11
 



 NOTES AFFÉRENTES AUX ÉTATS FINANCIERS

L’ensemble des états financiers d’une organisation n’est pas complet s’il n’est pas accompagné de notes explicatives, indispensables à sa compréhension. Ces notes font donc partie intégrante des états financiers. Les explications et les tableaux qu’elles contiennent constituent une importante source d’informations nécessaires pour tirer des conclusions pertinentes.

On doit y retrouver au moins les informations suivantes:
  • la description des activités de l’organisme et la loi selon laquelle l’organisme est constitué;
  • son statut comme organisme de charité si l’organisme est reconnu comme tel par la loi de l’impôt;
  • la méthode de constatation des revenus soit selon la méthode du report ou selon la méthode par fonds affectés;
  • les méthodes d’amortissement et de comptabilisation des stocks;
  • les affectations d’origine interne (c’est-à-dire les choix faits par la direction de réserver des sommes spécifiques à un usage particulier);
  • Toutes conventions comptables utilisées dans les états financiers.
Le détail des sources de revenus et des dépenses qui sont significatifs pour l’organisme peuvent être une information souhaitée par les organismes subventionnaires et les membres des conseils d’administration.



 L'ANALYSE DES ÉTATS FINANCIERS

L’analyse des états financiers sert à:
  1. situer l’organisation dans son contexte historique financier afin d’établir son évolution.
  2. définir l’organisation à l’intérieur de son secteur d’activités en terme non seulement quantitatifs « objectifs », mais aussi en fonction du comportement des autres dans son secteur. Cela permet donc à l’organisation de se situer par rapport aux autres.
  3. dégager les données nécessaires à l’établissement de prévisions quant aux comportements futurs à adopter par l’organisation.                       
  4. évaluer le risque assumé par chaque groupe d’utilisateurs.  
  5.  PERFORMANCE D'UN OBNL CULTUREL

    L’absence de l’objectif de réaliser des bénéfices complique l’évaluation de la performance financière d’un OBNL. Comment peut-on alors mesurer la performance d’un OBNL? On doit tenter d’évaluer l’efficacité et l’efficience.

    Évaluation de l’efficacité                      Évaluation de l’efficience     

    Objectifs de l’organisme                                    Services rendus
    comparés aux                                                  comparés aux
    Services rendus                                                Ressources utilisées 



    Évaluation de l'efficacité
    Objectifs de l'OBNL comparés aux  services rendus :

  6. Se fait davantage à l’aide de critères moins rigoureux axés sur le jugement de l’analyste :
  7. Une partie des efforts de gestion ont-ils été effectués en vue de l’atteinte des objectifs? (note 1 des É/F)
  8. Les dirigeants s’assurent-ils que l’OBNL dispose des liquidités nécessaires à la prestation des services? (structure financière)
  9. La direction s’assure-t-elle d’accroître le potentiel de services? (croissance de l’organisme)
Évaluation de l'efficience

Services rendus comparés aux ressources utilisées :

Il s’agit de mesurer la capacité de l’OBNL à minimiser les ressources utilisées pour la prestation d’une quantité donnée de services rendus :

  • L’OBNL a-t-il suffisamment de fonds pour s’acquitter de ses obligations à court terme?
  • Dans quelle mesure l’OBNL culturel arrive-t-il  à fournir ses prestations artistiques (le service)  aux meilleurs coûts possibles?
  • Quelle est la capacité de l’OBNL à financer les services fournis (ses revenus autonomes)  et ses investissements à même ses activités de fonctionnement?


Pertinence de l’analyse financière
L’analyse financière qui s’effectue en alignant une série de chiffres est très peu significative. Il faut absolument effectuer l’analyse en tenant compte du contexte, en tentant de justifier les écarts significatifs contrôlables et en ne s’attardant pas trop sur les difficultés occasionnées par des facteurs qui sont hors du contrôle des gestionnaires

 LES TROIS TYPES D'ANALYSE




lundi 28 novembre 2011

Tout ce qu'il faut savoir sur la législation du travail

Tout ce qu'il faut savoir sur la législation du travail

L'inspection du travail
Les relations professionnelles sont régies par un ensemble varié de textes dont on peut citer à titre indicatif :

  • Les textes légaux et réglementaires en vigueur tels que le code du travail objet de la loi 66-27 du 30/04/1966 qui à été révisé deux fois en février 94 et juillet 96 ;
  • La convention collective cadre agrée en date du 29/05/1973 ;
  • Les conventions collectives sectorielles dont le nombre s'élève, de nos jours, à 49 et qui ont été révisées 5 fois en 1983, 1989, 1990, 1993, 1996 ;
  • Les conventions collectives particulières pour les entreprises concernées ;
  • La loi 57-73 du 11/12/1957 relative au régime de réparation des accidents du travail et des maladies professionnelles telle qu'abrogée et remplacée par la loi n° 94-28 du 21/01/1994 ;
  • La loi 60-33 du 14/12/1960 relative à la sécurité sociale et les textes pris par son application ;
  • La loi 60-33 du 14/12/1960 instituant le régime d'invalidité de vieillesse, de survie et un régime d'allocation de vieillesse et de survie dans le secteur non agricole.
Par ailleurs, il y a lieu de noter depuis 1990, l'organisation syndicale patronale, l'union tunisienne de l'industrie du commerce et de l'artisanat (UTICA) et l'organisation syndicale ouvrière l'union générale des travailleurs tunisiens (UGTT) sont parvenues à fixer les augmentations de salaires tous les trois ans et ce en dépit de la conjoncture économique.

Le recrutement :
Le chef d'entreprise peut subvenir à ses besoins en main-d'œuvre soit directement soit à travers les bureaux d'emploi. L'engagement des travailleurs peut se faire soit par :
  • Un contrat de travail dont la durée y compris tous les renouvellements ne doit pas excéder 4 ans (passé ce délai le salarié doit être confirmé dans son poste).

  • Un contrat de travail à durée indéterminée. Dans ce cas le salarié peut être soumis à une période d'essai qui peut être renouvelée.
  • Une fois un contrat de travail à temps partiel (la durée de travail ne doit pas excéder 70 % de l'horaire du travail applicable à l'entreprise), le travail à temps partiel peut être effectué pour une durée limitée (4 ans) ou pour une durée illimitée.
  • Un contrat emploi-formation à la vie professionnelle (SIVP1) institué par le décret n° 87-1190 du 26/08/1987. Les stagiaires (diplômés bac+4 ou plus) sont pris en charge durant une année par l'Etat qui leur paye une bourse allant de 100 à 250 dinars par mois.
  • Contrat de stage d'initiation à la vie professionnelle institué par le décret 88-715 du 31/03/1988 et concerne les diplômes du second cycle du secondaire et assimilés. Les stagiaires perçoivent une bourse variant de 60 à 80 dinars.
Horaire de travail :
  • La durée hebdomadaire du travail est fixée à 48 ou à 40 heures selon le secteur d'activité (se référer sur ce point à la convention collective)
  • Les heures supplémentaires sont majorées de :
    1. 75% pour les heures effectuées au-delà de 48h pour le régime de 48 heures par semaine
    2. 25% pour les 8 premières heures et 50% pour le reste des heures travaillées au-delà des 40 heures (régime 40 heures par semaine)
    3. 50% pour les heures travaillées au-delà de la durée convenue (pour le travail à temps partiel)
      Depuis le 1er mai 1999, le SMIG (salaire minimum interprofessionnel garanti) a été fixé comme suit :
    4. - Régime de 48 heures par semaine : 860 millimes l'heure, soit 178,880 dinars par mois.
      - Régime de 40 heures par semaine : 904 millimes l'heure, soit 156,691 dinars par mois.

      En ce qui concerne le salaire minimum agricole garanti (SMAG) : 5, 509 dinars par jour.
Congés payés et repos hebdomadaires :
Chaque salarié a droit à :
  • Un congé payé de 12 jours par an pour le secteur régi par le code du travail (les conventions collectives en prévoient généralement un congé variant entre 18 jours à 1mois).
  • Un jour au titre du repos hebdomadaire.
Licenciement :
Le salarié licencié pour faute grave ne bénéficie d'aucune indemnité. Le salarié licencié sans faute grave (cause réelle et sérieuse) c'est-à-dire abusivement a droit à un mois de préavis, une gratification de fin de service calculée à raison de 1 jour de salaire par mois sans dépasser 3 mois (les conventions collectives en prévoient plus) et à des dommages et intérêts calculés à raison de 1 à 2 mois de salaire sans dépasser 36 mois ou dans la limite de 1 à 4 mensualités (en cas de non respect de la forme du licenciement).
Les actions en justice se prescrivent par le délai d'un an à compter de la date de rupture des relations de travail.


Le licenciement collectif ou mise en chômage technique pour motif économique ou technologique :
En cas de difficultés économiques ou pour des raisons technologiques, le chef d'entreprise peut licencier soit la totalité soit une partie de son personnel permanent. Il peut le mettre aussi en chômage technique. Le chef d'entreprise doit néanmoins respecter la procédure qui consiste à saisir l'inspection du travail d'une demande appuyée par des justifications. Il sera statué sur la demande du chef d'entreprise dans un délai n'excédant pas un mois.
Le licenciement collectif conforme à la procédure n'est pas abusif. Le salarié ne pourrait prétendre qu'à :
  • Un mois de préavis.
  • La gratification de fin de service calculée à raison de 12 jours/an sans dépasser 3 mois (les conventions collectives ont fixées des gratifications plus importantes).
    Tout licenciement ou chômage technique non conforme à la procédure est considéré abusif.
La discipline au travail :
Les sanctions disciplinaires peuvent être soit :
  • De premier degré : il s'agit des sanctions allant de l'avertissement jusqu'à 3 jours de mise à pied.
  • De second degré : allant de 4 jours jusqu'au licenciement définitif. Dans ce cas le salarié doit être traduit devant le conseil de discipline afin d'émettre son avis.
La représentation du personnel :
Les travailleurs sont représentés par :
  • Une commission consultative d'entreprise(CCE) devant être instituée dans les entreprises occupant au moins quarante salariés permanents. Le nombre des membres titulaires et suppléants ainsi que leur répartition par collège (exécution, maîtrise et cadre) dépendent de l'effectif employé.
  • Deux délégués du personnel (un titulaire et un suppléant) lorsque l'entreprise emploie entre 20 à 40 salariés permanents.
Les membres titulaires et suppléants de la commission consultative d'entreprise ainsi que le délégué titulaire ou suppléant bénéficient d'une protection particulière contre leur licenciement. En effet, leur licenciement ne peut intervenir que sur décision conforme de l'inspection du travail.

Le règlement des conflits collectifs :
Le règlement des conflits collectifs (grève ou lock-out) se fait dans le cadre du respect des procédures en suivant certaines étapes à savoir :
  • Une tentative de conciliation faite par la commission consultative d'entreprise (CCE).
  • En cas d'échec de cette tentative, la partie la plus diligente doit adresser un préavis de 10 jours par lettre recommandée avec accusé de réception à l'autre partie et à l'inspection du travail territorialement compétente.
  • Avant l'expiration du délai de 10 jours, le conflit doit être porté devant une commission régionale de conciliation (à noter que lorsque le conflit s'étend sur plus d'un gouvernorat, c'est la commission centrale de conciliation qui en sera habilitée).
  • En cas d'échec de la conciliation, les parties peuvent convenir de soumettre l'objet du conflit à l'arbitrage.
L'inspection du travail :
Les agents chargés de l'inspection du travail sont chargés de veiller à l'application des dispositions légales, réglementaires et conventionnelles organisant les relations de travail ou qui en découlent dans tous les domaines d'activité.
Ils sont également chargés de fournir des informations et des conseils techniques aux employeurs et aux travailleurs sur les moyens les plus efficaces d'appliquer la législation du travail.

jeudi 17 novembre 2011

Titre Champion d'Afrique

Tunis Le 12/11/2011
l'esperance nous a offert le plus beau cadeau de cette année  ..............la champion league Africaire pour 2011
Merci Mon bon Dieu et aprés  Nabil Maaloul . 

jeudi 27 octobre 2011

فضل صيام العشره الاولى من ذى الحجه


روى عن فضل الأيام العشر من ذى الحجة انة من صام هذة الايام أكرمه الله تعالى بعشرة أشياء هى :

1- البركة فى العمر2- الزيادة فى المال 3- الحفظ والبركة فى الاولاد 4- التكفير للسيئات 5- مضاعفة الحسنات 6- التسهيل عند سكرات الموت 7- الضياء لظلمة القبر 8- التثقيل فى الميزان 9- النجاة من دركاته 10- الصعود فى درجاتهروى بن عباس عن رسول الله صلى الله علية وسلم أنه قال :اليوم الذى غفر الله فيه لأدم عليه السلام هو أول يوم من ايام ذى الحجة من صام ذلك اليوم غفر الله له كل ذنب.اليوم الثانى هو اليوم الذى استجاب الله فيه دعاء سيدنا يونس عليه السلام وهو فى بطن الحوت من صام ذلك اليوم كمن عبد الله سنه كاملة ولم يعصيه طرفة عيناليوم الثالث هو اليوم الذى استجاب الله فيه دعاء سيدنا زكريا من صام ذلك اليوم استجاب الله دعاءه.اليوم الرابع هو اليوم الذى ولد فيه سيدنا عيسى علية السلام من صام ذلك اليوم ينفر الله عنه الفقر والبؤس.اليوم الخامس هو اليوم الذى ولد فيه سيدنا موسى عليه السلام من صام ذلك اليوم انجاه الله من عذاب القبر.اليوم السادس هو اليوم الذى فتح الله فيه لنبيه كل ابواب الخير من صام ذلك اليوم ينظر اليه الله بالرحمة ومن نظر الله اليه بالرحمة لا يعذبه ابداًاليوم السابع هو اليوم الذى تغلق فية ابواب جهنم فلا تفتح حتى تنتهى العشر ومن صام ذلك اليوم فتح الله له ثلاثين باباً من اليسر واغلق عنه ثلاثين باباً من العسر.اليوم الثامن هو يوم التروية من صام ذلك اليوم أعطاه الله من الخير مالا يعلمه الا الله سبحانه وتعالى.اليوم التاسع وهو يوم عرفه من صام ذلك اليوم كان كفارة للسنة الماضية والسنة المستقبلية وهو اليوم الذى انزل فيه الله تعالى ( اليوم أكملت لكم دينكم) صدق الله العظيم.اليوم العاشر وهو يوم العيد ويوم التضحية ومن قرب فيه قرباناً كان كفارة لكل ذنوبة .فأغتنموا هذة الفرصة وتقربو فيها الى الله سبحانه وتعالى بالاعمال الصالحة واكثروا من الصوم فى تلك الايام فلا تجعلوا هذة الفرصة تفوتكم ربما لا نكون موجودين بالدنيا فى العام القادم ويومها سنكون نادمين اشد الندم .لا تبخلو فى نقلها فأن ثوابها عظيماخوتي في الله لاني احبكم جميع نقلت هذا الموضوع ويكتب لنا الله المغفرة والاجر الحسن ان شاء الله

jeudi 20 octobre 2011

La Mort de Ghaddafi

                                                                                                             Tunis le 20/10/2011
A Dieu Moammar Ghadddafi  que le bon Dieu te pardonne .
Tu va être enterré dans la terre de vos ancêtre         Adieu  .
Tu va nous manquer votre Humour et L'histoire va ecrire sur vous oui  .







vendredi 14 octobre 2011

Présentation du Cabinet Jaafri


Le Cabinet Conseil Audit Formation

Le cabinet Monsieur Jaafri  Abderraouf est membre de la compagnie de comptables de Tunisie .
Sise a Tunis immeuble 11 rue d’Alger  1er étage n°15 Tunisie
Son développement rapide et soutenu est le témoignage de sa capacité a mettre a la disposition des entreprises tunisiennes un éventail de services adaptés a leurs besoins et de son souci de qualité .
L’activité du cabinet est fondée sur la croyance que croissance continue ne peut résulter que du seul développement interne .
Cette croyance ,qui garantit le succès de nos interventions , détermine :
-         La formation et le développement professionnels de nos collaborateurs
-         L’organisation du cabinet en trois départements :
-          
*audit
*conseil et assistance
*formation




Le recrutement et la Formation

Le cabinet applique une politique qui lui assure un recrutement de haut niveau.
Le cabinet attache une très grande importance a la formation professionnel de ses collaborateurs . il a été établi une politique de formation continue qui se déroule parallèlement a plusieurs niveaux :

Au bureau :

-Par l’établissement d’un programma d’intervention qui donne au collaborateur l’occasion d’être confronte rapidement a une grande variété de programmes techniques .

-Par des entrevues régulières avec les responsables du cabinet  afin de permettre au collaborateur de faire le point sur sa progression .

-Par une politique de promotion rapide reflétant la qualité des performances du collaborateur  .


Chez le Client :

-Par la définition en début de mission des objectifs de travail
-Par l’assistance journalière d’un chef de mission expérimente
-par l’appréciation a la fin de chaque mission du travail fourni ,
Débouchant sur des conseils pour l’amélioration des performances


Programme de formation actuel et d’enrichissement des connaissances techniques des collaborateurs :

-Cours d’approfondissement : tout au long de la première année et durant un jour par semaine ,un séminaire est organise pour donner au collaborateur les bases des différentes principe comptables et pour lui permettre de revoir et d’approfondir les procédures de l’audit .
-Cours d’audit informatique : ce cours est destinée a familiariser nos collaborateurs a l’outil informatique , sa durée est de dix jours chez le client .
-cours sur les rapports financiers : Axé sur la présentation des comptes et la réduction des rapports d’audit et des notes aux états financiers , ce cours prend place a l’issue de la deuxième année d’expérience  .

Par ailleurs , le cabinet encourage l’initiative individuelle de ses collaborateurs avides de connaissances et de savoir en mettant a leur disposition un large éventail de livres spécialises .



Les Services

Deux  types de services  sont offerts par notre cabinet a ses clients
*L’audit

Le cabinet entreprend les missions d’audit interne qui lui sont confiées conformément aux normes généralement admises dans la profession sur le plan international .

Nous veillons également , dans le cadre de nos action sd ‘audit , a formuler des recommandations sur les systèmes de contrôle interne  et comptable en vue de les améliorer et d’assurer aussi la sauvetage du patrimoine de l’entreprise .

*La Tenue de comptabilité  & le conseil

Garantir un bilan comptable audite sans aucune réserve dans le rapport du commissaire aux comptes  .

-les  déclarations mensuels
-les  acomptes provisionnels
-les déclarations caisse national de sécurité sociales
-la déclaration d’employeur
-le Bilan et les états financiers



Le professionnalisme

Notre cabinet applique en toutes circonstances des règles professionnels tres strictes visant à :

-N’effectuer que des missions pour lesquelles il dispose de la compétence nécessaire

-Garantir son indépendance

-Respecter le secret professionnel

Pour chaque intervention sont établis une lettre de proposition détaille et un programme de travail précis stipulant :

-les objectifs
-le calendrier d’intervention
-l’estimation du temps de travail et des honoraires


Remarque :

Chaque missions donne lieu a   la constitution d’une équipe de travail placée sous la responsabilité d’un associé et qui fait appel aux collaborateurs dont la compétence est la plus appropriée .



Les références des personnels du cabinet

Dar el Amal                      (journaux Horria et renouveau)

-         Assistance pour l’arrête de ses bilans
-         Inventaire des actifs et passifs et établissement d’une situation corrigée
-         Etat de rapprochement bancaire et de caisse

Etablissement Maiza     ( importation matériels informatiques et bureautique )

-         Assistance pour l’arrête de ses bilans
-         Inventaire des actifs et passifs et établissement d’une situation corrigée
-         Audit interne des comptes des exercices et des états financiers .
-         Audit des procédures


Ecotravel                          (Agence de voyages)       

-         Assistance pour l’arrête de ses bilans
-         Inventaire des actifs et passifs et établissement d’une situation corrigée
-         Audit interne des comptes des exercices et des états financiers .
-         Audit des procédures

lundi 3 octobre 2011

Le capitalisme


Le capitalisme est un concept à la fois économiquesociologique et politique. Selon le contexte de son utilisation, il est défini de différentes manières (voir les emplois du terme). Il n'y a pas réellement de consensus quant à sa définition, ni sur la façon dont le terme doit être utilisé par rapport au cadre historique1.
Dans l'usage défini par l’Académie Française, le capitalisme est défini comme un « régime économique dans lequel les moyens de production sont propriété privée »2.
Dans l'usage courant, le terme est utilisé dans de nombreux sens différents, qui renvoient à des cadres idéologiques et théoriques différents, et se traduisent dans les définitions figurant dans la littérature par l’ajout fréquent des aspects sociaux et politiques, ainsi que d’autres caractéristiques parmi les suivantes :

Le libéralisme politique


Le libéralisme politique désigne l'ensemble des thèses libérales portant sur le domaine de la politique, qui ont en commun de fixer des limites à l'action de l'État. Elles se différencient par leurs positions relatives à ses finalités, à l'étendue des prérogatives qu'il doit posséder et à son organisation.
Pour le libéralisme classique, le rôle légitime de l'État est la protection des libertés individuelles. L'État assure les fonctions dites « régaliennes » de police, de justice et de défense.
Le libéralisme s'est historiquement construit contre l'absolutisme. Au moment de la division droite/gauche et pendant une longue partie du XIXe siècle, il constitue la principale tendanceprogressiste, inspirateur de la Révolution française, formant l'opposition contre Napoléon puis les Ultras, siégeant à gauche, triomphant avec la monarchie libérale de Louis-Philippe puis retournant dans l'opposition contre le futur Napoléon III. L'importance croissante des mouvements marxistes ou socialistes à gauche a graduellement fait évoluer le positionnement des libéraux en France et dans d'autres pays (Royaume-Uni notamment). Aux États-Unis actuellement, le mouvement libertarien prône une réduction radicale de l'Etat et de ses prérogatives.
Le libéralisme s'oppose au conservatisme1 et au socialisme2. Les libéraux cherchent fréquemment à se démarquer du clivage droite/gauche et se réclament alors d'un troisième axe politique.

Le libéralisme économique


Le libéralisme économique est une école de pensée, dont la dénomination est associée au siècle des Lumières, qui estime que les libertés économiques (libre-échange, liberté d'entreprendre, libre choix de consommation, de travail, etc.) sont nécessaires en matière économique et que l’intervention de l’État doit y être aussi limitée que possible. Ces idées fondatrices furent formulées antérieurement notamment à l'Ecole de Salamanque aux xve et xvie siècles, sur la base de considérations morales accordant à la personne humaine des droits fondamentaux, notamment en matière économique.
Les partisans du libéralisme économique se rangent en deux grandes familles. Pour les libéraux classiques (LockeTurgotSmith ou Condillac), le libéralisme économique est l'application au domaine économique des principes fondateurs du libéralisme : libertéresponsabilitépropriété. Ils contestent à la fois la légitimité et l’efficacité de l’action étendue de l’État, et, selon les tendances, demandent la limitation plus ou moins grande voire totale de ses actions dans le champ de l'économie. Ils considèrent notamment que la puissance publique n'a ni la légitimité, ni l'information nécessaire pour prétendre savoir mieux que les consommateurs ce qu'ils peuvent ou doivent consommer ou pour prétendre savoir mieux que les producteurs ce qu'ils peuvent ou doivent produire.
Pour les autres, le libéralisme économique relève d’un raisonnement de nature économique qui repose le plus souvent sur la théorie de l’équilibre général et qui est souvent appelé « libéralisme néoclassique ». Ils contestent l’efficacité des actions de l’État mais sont plus sensibles que les libéraux classiques aux critiques partant des « défaillances du marché ». De ce fait, ils diffèrent quant aux limites exactes à fixer aux interventions de l’État.
Actuellement, le libéralisme classique est devenu très minoritaire, et les tenants du libéralisme économique font en grande majorité reposer leurs positions sur le libéralisme néoclassique. En conséquence, la plupart des critiques portent sur les arguments de cette école de pensée : ces critiques sont virulentes surtout en France, tant d'une partie de la population que de certains politiques.

Le libéralisme


Le libéralisme est un courant de pensée de philosophie politique, né d'une opposition à l'absolutisme et au droit divin dans l’Europe desLumières (xviiie siècle), qui affirme la primauté des principes de liberté et de responsabilité individuelle sur le pouvoir du souverain. Il repose sur l’idée que chaque être humain possède des droits fondamentaux qu'aucun pouvoir n'a le droit de violer. En conséquence, les libéraux veulent limiter les obligations sociales imposées par le pouvoir et plus généralement le système social au profit du libre choix de chaque individu1,2. Le libéralisme repose sur un précepte moral qui s'oppose à l'assujettissement, d'où découlent une philosophie et une organisation de la vie en société permettant à chaque individu de jouir d'un maximum de liberté, notamment en matière économique. Pour la plupart des libéraux, la dichotomie entre « libéralisme économique » et « libéralisme politique » n'existe donc pas, puisqu'il s'agit de l'application d’une même doctrine dans des domaines différents3.
Au sens large, le libéralisme prône une société fondée sur la liberté d'expression des individus dans le respect du droit du pluralisme et dulibre échange des idées. La satisfaction et l'expression libre de l'intérêt de chacun permet une société qui valorise les meilleures adaptations. Elle doit joindre, d'une part, dans le domaine économique, l'initiative privée, la libre concurrence et son corollaire l'économie de marché, et d'autre part, dans le domaine politique, des pouvoirs politiques encadrés par la loi librement débattue, et des contre-pouvoirs. Elle valorise ainsi le mérite comme fondement de la hiérarchie. Cela suppose idéalement un État de droit où sont respectées les minorités jusqu'à la plus petite, l'individu ; l'État n'étant que le garant de ce respect et devant rendre des comptes de son action.
Cette position théorique implique le respect du pluralisme et une adaptation aux évolutions sociales: le libéralisme peut donc se manifester de façon fort diverse, voire opposée; le libéralpeut ainsi être, selon le lieu, voire en fonction des moments, celui qui exige de l'État qu'il brise un traditionalisme religieux ou social oppresseur pour l'individu (caste, statuts, discriminations et privilèges, ...) ou qui défend la liberté de pratiquer une religion ou une tradition, il peut demander que l'État intervienne pour donner à chacun une véritable capacité d'action économique (bridée par un monopole, la pauvreté, le manque d'éducation, de crédit ou autre), ou inversement celui qui s'oppose à l'intervention du pouvoir. Les limites à fixer à l'action de l'État, ainsi que les modalités de l'action publique (notamment aux rôles respectifs de l'action administrative et de la loi), sont donc sujets à débat au sein même du libéralisme. La plupart des libéraux considèrent que l'action de l'État est nécessaire à la protection des libertés individuelles, dans le cadre de ses fonctions régaliennes, et nombre d'entre eux (comme Adam SmithRaymond AronKarl Popper ou Benedetto Croce) acceptent et même recommandent certaines interventions de l'État dans l'économie, notamment en matière de contrôle et de régulation. À l'opposé, les libertariens de tendance anarcho-capitalistes refusent à l'État toute légitimité dans quelque domaine que ce soit.

socialisme


Définition du socialisme


Etymologie : du latin "socialis", sociable, pour la société, lui-même dérivé de "socius", associé.

Le socialisme est une doctrine politique et économique qui vise, à l'inverse du modèle libéral, à réformer le système de propriété privée des moyens deproduction et d'échange et à l'appropriation de ceux-ci par la collectivité.
Les valeurs fondamentales du socialisme sont : l'absence de classes (au moins à ses origines), l'égalité des chances, la justice sociale, la répartitionéquitable des ressources, la solidarité, la lutte contre l'individualisme, l'intérêt général partagé et prévalant sur les intérêts particuliers...

Dans la théorie politique marxiste, le socialisme est la période de transition entre l'abolition du capitalisme et l'avènement du communisme avec la disparition de l'Etat. Pendant cette période, la "dictature du prolétariat" s'exerce par l’intermédiaire de l'Etat sur l'ensemble de la société.

Chez les non marxistes, le socialisme est la dénomination générale des doctrines des partis de gauche qui cherchent à rénover l'organisation de la société en vue de la justice sociale et de l'émancipation individuelle de chacun dans le respect de la dignité.


Les socialismes

Les variantes du socialisme sont nombreuses. Leur caractéristique commune est moins la remise en cause de la propriété privée que la recherche d'une plus grande justice sociale. Ces mouvements s'opposent sur d'autres sujets fondamentaux comme le rôle de l'État, le parlementarisme, la démocratie directe...
  • Historiquement, des formes de "socialisme" sont apparues dans l'Antiquité et au Moyen Age (Anabaptisme), mais c'est au XIXe siècle, en réaction aux conséquences sociales et économiques néfastes de la "révolution industrielle", qu'est né le socialisme moderne.
  • Le socialisme utopique dont le but est de rendre le monde plus heureux (Début du XIXe), avec Fichte, Saint-Simon, Proudhon, Owen...
  • Le socialisme scientifique ou marxisme, théorisé par Karl Marx et Friedrich Engels, qui nécessite la lutte des classes et la suppression ducapitalisme.
  • Le communisme russe (ou bolchevisme) développé par Lénine, avec la suppression de la propriété privée.
  • Le socialisme réformiste (par opposition à révolutionnaire) rejetant la violence et s'appuyant sur l'Etat pour réaliser la transformation sociale.
  • Le socialisme autogestionnaire ou libertaire, partisan de la suppression immédiate de l'Etat et qui, au sein de la classe ouvrière, défend l'autogestionet le fédéralisme (Cf. anarchisme).
  • Le socialisme démocratique, apparu après la Seconde Guerre mondiale, est issu du socialisme réformiste. Il préconise des réformes sociales pour améliorer la situation des salariés et de ne transférer à la collectivité (nationalisation) que les moyens de production les plus importants. On le retrouve dans les partis "socialistes", "travaillistes", "socio-démocrates" européens.